"Je viens de tester 2 des solutions "de remplacement", suite à la suppression du train Reims/Nice : passage par Paris = galère et "transit" en gare de Culmont, sans siège, au milieu de la nuit= innommable !"
Quand comprendront-ils enfin ?
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mercredi 31 décembre 2008
lundi 15 décembre 2008
PREMIER CONTACT AVEC CULMONT : CHARMANT !
UNE HONTE POUR LA SNCF ! UNE HONTE POUR NOS DIRIGEANTS !!!
Des voyageurs hagards, 5 heure du matin .... il fait froid. Un hall de gare exigue, sans aucun siège, éclairé à la lumière blafarde de quelques néons .... des toilettes dehors, dans le froid .... une attente qui parait ne pas devoir finir et puis un vrai tortillard que nous n'arriverions pas à vendre dans les anciens pays communistes, vieux usé, crasseux, inconfortable au possible .... et qui s'arrète à toute les gares .... mais dans quel pays sommes nous ... comment les autorités qui prétendent nous diriger et façonner notre avenir peuvent elles sans honte se glorifier de faire des ECONOMIES DE BOUT DE CHANDELLE AU PRIX D'UNE REGRESSION AUSSI HONTEUSE ET DEGRADANTE !!!
TOUS CES GENS DE LA BIEN AU CHAUD DANS LEURS MINISTERES NE SE RENDENT MEME PAS COMPTE DE COMBIEN CE QU'ILS FONT EST HONTEUX..... ILS NE VALENT MEME PAS LE PRIX DU MEPRIS ET DE LA RANCOEUR !!!
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jeudi 11 décembre 2008
Bruxelle ......
Brussels urged to act over SNCF
By Guy Dinmore in Rome and Robert Wright in London
Published: December 11 2008 23:15 | Last updated: December 11 2008 23:15
The once-cosy world of European state-owned railways was given a jolt on Thursday as Italy revealed it had teamed up with Germany’s Deutsche Bahn to press the European Commission to act against what they saw as unfair competition and fully liberalise national passenger markets.
Mauro Moretti, chief executive of Italy’s state-owned Ferrovie dello Stato, made it clear that the Italian-German initiative was aimed primarily at France’s SNCF, which he accused of unfair competition and obstruction. “This is our first action [against SNCF],” he told the Financial Times. “If there is not a positive answer we can consider other steps.”
EDITOR’S CHOICE
Tensions high between rail operators
Their action follows raids by the French competition authorities last month against SNCF.
It said it would co-operate fully with the inquiries about the openness of the rail freight market, saying it was “playing the game fairly”.
SNCF also rejected D Bahn’s and Ferrovie’s accusations, pointing out that since its rail freight market started deregulating in 2005, private competitors had taken 8 per cent of the market – a point it said took 10 years to be reached in Germany.
The largest competitor to SNCF in France is D Bahn’s Euro Cargo Rail division. “The French market is open,” SNCF said.
Mr Moretti and Hartmut Mehdorn, chief executive of D Bahn, wrote a joint letter to Antonio Tajani, European transport commissioner, last month asserting that European law required the opening of national passenger markets where train companies of one country could freely operate in another. They proposed setting January 1 2012 as a starting date.
Italy, Germany, Denmark and the UK had liberalised their markets, the letter said, but others had not, so creating “a very negative impact in terms of fair competition and reciprocity”.
The proposed move would be in addition to the liberalisation of international passenger traffic already due to come into force on January 1 2010. International rail freight traffic was liberalised in 2003, while all European countries’ rail freight markets have been open since 2006.
Mr Moretti said last April he had asked SNCF for terms governing Italy’s cross-border ambitions and was told he would be informed by the end of the year.
SNCF has taken a 20 per cent stake in an Italian venture, NTV, which plans to launch Europe’s first privately operated high-speed train service in 2011.
Copyright The Financial Times Limited 2008
By Guy Dinmore in Rome and Robert Wright in London
Published: December 11 2008 23:15 | Last updated: December 11 2008 23:15
The once-cosy world of European state-owned railways was given a jolt on Thursday as Italy revealed it had teamed up with Germany’s Deutsche Bahn to press the European Commission to act against what they saw as unfair competition and fully liberalise national passenger markets.
Mauro Moretti, chief executive of Italy’s state-owned Ferrovie dello Stato, made it clear that the Italian-German initiative was aimed primarily at France’s SNCF, which he accused of unfair competition and obstruction. “This is our first action [against SNCF],” he told the Financial Times. “If there is not a positive answer we can consider other steps.”
EDITOR’S CHOICE
Tensions high between rail operators
Their action follows raids by the French competition authorities last month against SNCF.
It said it would co-operate fully with the inquiries about the openness of the rail freight market, saying it was “playing the game fairly”.
SNCF also rejected D Bahn’s and Ferrovie’s accusations, pointing out that since its rail freight market started deregulating in 2005, private competitors had taken 8 per cent of the market – a point it said took 10 years to be reached in Germany.
The largest competitor to SNCF in France is D Bahn’s Euro Cargo Rail division. “The French market is open,” SNCF said.
Mr Moretti and Hartmut Mehdorn, chief executive of D Bahn, wrote a joint letter to Antonio Tajani, European transport commissioner, last month asserting that European law required the opening of national passenger markets where train companies of one country could freely operate in another. They proposed setting January 1 2012 as a starting date.
Italy, Germany, Denmark and the UK had liberalised their markets, the letter said, but others had not, so creating “a very negative impact in terms of fair competition and reciprocity”.
The proposed move would be in addition to the liberalisation of international passenger traffic already due to come into force on January 1 2010. International rail freight traffic was liberalised in 2003, while all European countries’ rail freight markets have been open since 2006.
Mr Moretti said last April he had asked SNCF for terms governing Italy’s cross-border ambitions and was told he would be informed by the end of the year.
SNCF has taken a 20 per cent stake in an Italian venture, NTV, which plans to launch Europe’s first privately operated high-speed train service in 2011.
Copyright The Financial Times Limited 2008
mercredi 3 décembre 2008
POUR SE LAVER LES MAINS, FAUT DE L'EAU ET DU SAVON !
et il n'y en a pas toujours dans les trains, malheureusement (TGV compris, d'ailleurs !!)
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Maladie du rat gare Saint-Lazare à Paris: un agent contaminé PARIS -
Un agent de la SNCF a été contaminé par la leptospirose, ou maladie du rat, à la gare Saint-Lazare à Paris, a-t-on appris auprès de la direction de la SNCF qui réunit mercredi un comité d'Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) extraordinaire sur le sujet.
"Un agent a bien été contaminé par la leptospirose" a déclaré un porte-parole de la direction régionale de Paris Saint-Lazare à l'AFP, confirmant une information parue dans le Parisien mercredi.
"Un CHSCT extraordinaire se tiendra ce soir", a-t-il ajouté, en indiquant que la SNCF prenait le problème "à bras le corps" et prévoyait de "lancer une campagne de sensibilisation interne sur le respect des règles d'hygiène de base (lavage des mains régulier etc), et proposer aux agents, s'ils ont le moindre symptôme, de ne pas hésiter à consulter le médecin du travail".
"On incite les agents à ne pas attendre de symptômes supplémentaires s'ils ont la moindre fièvre", a-t-il ajouté.
La dernière campagne de dératisation gare Saint-Lazare (Paris IXè) a eu lieu dans la nuit du 20 au 21 novembre, la prochaine est prévue dans celle du 4 au 5 décembre, a ajouté la même source.
"Le bilan de la dératisation est positif, une inspection des services sanitaires de la Préfecture de police de Paris l'a confirmé lors d'une visite en journée le 29 octobre dernier; le phénomène est en train de s'estomper", a-t-il conclu.
Le syndicat Sud-rail de son côté a dénoncé les conditions de travail des agents de l'équipement de Saint-Lazare "de plus en plus déplorables". "Lorsqu'ils sont à genoux sur les voies pour effectuer des travaux de remplacements de rails, la nuit, les traverses sont sales, souillées par des excréments, et ils sont entourés par des rats", a déclaré un délégué Sud Rail à Saint-Lazare à l'AFP.
La leptospirose ou maladie du rat, parfois appelée "maladie des égoutiers" du fait de son mode de transmission, est une maladie infectieuse qui touche environ 300 personnes par an en France. Cette maladie est transmissible à l'homme par l'urine du rat.
Souvent bénigne, elle peut être mortelle dans 5 à 20% des cas, rappelle l'Institut Pasteur.
Des travaux de grande ampleur sont en cours à la gare Saint Lazare à Paris qui verra son bâtiment historique remis à neuf d'ici trois ans, ce qui expliquerait la raison pour laquelle les rats pullulent dans l'établissement, précise la SNCF.
(©AFP / 03 décembre 2008 13h05)
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Maladie du rat gare Saint-Lazare à Paris: un agent contaminé PARIS -
Un agent de la SNCF a été contaminé par la leptospirose, ou maladie du rat, à la gare Saint-Lazare à Paris, a-t-on appris auprès de la direction de la SNCF qui réunit mercredi un comité d'Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail (CHSCT) extraordinaire sur le sujet.
"Un agent a bien été contaminé par la leptospirose" a déclaré un porte-parole de la direction régionale de Paris Saint-Lazare à l'AFP, confirmant une information parue dans le Parisien mercredi.
"Un CHSCT extraordinaire se tiendra ce soir", a-t-il ajouté, en indiquant que la SNCF prenait le problème "à bras le corps" et prévoyait de "lancer une campagne de sensibilisation interne sur le respect des règles d'hygiène de base (lavage des mains régulier etc), et proposer aux agents, s'ils ont le moindre symptôme, de ne pas hésiter à consulter le médecin du travail".
"On incite les agents à ne pas attendre de symptômes supplémentaires s'ils ont la moindre fièvre", a-t-il ajouté.
La dernière campagne de dératisation gare Saint-Lazare (Paris IXè) a eu lieu dans la nuit du 20 au 21 novembre, la prochaine est prévue dans celle du 4 au 5 décembre, a ajouté la même source.
"Le bilan de la dératisation est positif, une inspection des services sanitaires de la Préfecture de police de Paris l'a confirmé lors d'une visite en journée le 29 octobre dernier; le phénomène est en train de s'estomper", a-t-il conclu.
Le syndicat Sud-rail de son côté a dénoncé les conditions de travail des agents de l'équipement de Saint-Lazare "de plus en plus déplorables". "Lorsqu'ils sont à genoux sur les voies pour effectuer des travaux de remplacements de rails, la nuit, les traverses sont sales, souillées par des excréments, et ils sont entourés par des rats", a déclaré un délégué Sud Rail à Saint-Lazare à l'AFP.
La leptospirose ou maladie du rat, parfois appelée "maladie des égoutiers" du fait de son mode de transmission, est une maladie infectieuse qui touche environ 300 personnes par an en France. Cette maladie est transmissible à l'homme par l'urine du rat.
Souvent bénigne, elle peut être mortelle dans 5 à 20% des cas, rappelle l'Institut Pasteur.
Des travaux de grande ampleur sont en cours à la gare Saint Lazare à Paris qui verra son bâtiment historique remis à neuf d'ici trois ans, ce qui expliquerait la raison pour laquelle les rats pullulent dans l'établissement, précise la SNCF.
(©AFP / 03 décembre 2008 13h05)
lundi 17 novembre 2008
SNCF : manque de transparence et management ancestral
.... "Ce train m'est indispensable car je suis étudiant sur Reims et mes parents habitent à Nice, donc je suis régulièrement amené à le prendre. Le manque de transparence de la SNCF est effarant et témoigne d'une approche ancestrale du management" ....
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COMMUNIQUE DE LA FNAUT
http://jesigne.fr/sauvonsletraindenuitreimsnice FNAUT
Novembre 2008
Service d’hiver des trains de voyageurs :
la FNAUT dénonce une nouvelle dégradation grandes lignes hors TGV
Le service d’hiver des trains de voyageurs va entrer en vigueur le 14 décembre. La FNAUT dénonce des nouvelles dégradations dans l’offre grandes lignes interrégionale, hors TGV.
1- La desserte directe de nuit Reims – Nice, après avoir été réduite aux débuts et fins de week-end, est supprimée. Des reports sur l’avion en passant par Paris sont déjà constatés suite à cette « dérégularisation ». La desserte TER de remplacement, à la charge des régions, assure des correspondances à des heures dissuasives. Cette solution dégradée n’est même pas mentionnée directement sur internet.
2-La SNCF reprend la suppression de dessertes par trains Corail Intercités, en autres sur la transversale Tours –Le Mans – Caen. Une relation est supprimée dans le sens Sud – Nord et deux dans le sens Nord – Sud. Chacune d’elles assurait de plus d’excellentes correspondances en TGV de et vers Bordeaux. Les alternatives proposées consistent en des itinéraires par Paris, plus chers, plus lents et plus inconfortables, incitant le client à prendre sa voiture.
3-Le site internet continue de se dégrader pour les Corail Intercités. Les relations radiales, comme vu ci-dessus, sont privilégiées. Il est toujours impossible d’acheter un billet « ouvert », c’est-à-dire sans réservation. De plus, depuis quelques mois, pour nombre de ces trains à « réservation recommandée », il n’est plus possible de choisir ses préférences d’emplacement et l’informatique attribue automatiquement les places les moins demandées : « couloir » ou « milieu » : le monde à l’envers en matière de qualité de service !
4-Le nouveau calendrier voyageurs « bleu blanc », entré en vigueur le 6 juillet, se traduit par une très forte augmentation des prix pour trois catégories de voyageurs, celles précisément dont le pouvoir d’achat est le plus limité : les juniors, les enfants accompagnés et les seniors. La SNCF est à ce jour restée silencieuse quant à la proposition de la FNAUT qui consiste à ne pas appliquer les mêmes règles commerciales à l’ensemble des Corail Intercités et à revenir à l’ancien calendrier voyageur pour les liaisons interrégionales province - province.
5-Lors de son séminaire annuel avec les journalistes européens à Megève début octobre, la SNCF se déclare prête à financer par elle-même le renouvellement du parc des TGV, des TER et du réseau francilien mais reste, là encore, silencieuse sur le matériel Corail mis en service antérieurement au TGV.
« Assèchement » continu des relations transversales, dégradations du service internet, augmentation de certains prix, absence de vision d’avenir claire : toutes ces mesures ne sont pas conformes aux décisions prises en 2005 par le ministre des Transports au sujet des trains Corail Intercités, ni aux récentes positions de Dominique Bussereau, secrétaire d’Etat aux Transports qui a déclaré en avril : « Les bénéfices dégagés par le TGV doivent profiter au fret, aux TER et aux Corail Intercités. »
PJ n°1 : Dégradations des relations Corail
PJ n°2 : Le plan stratégique SNCF : Propositions de la FNAUT pour les services voyageurs « grandes lignes » Ce documenta été communiqué au ministère des Transports et à la SNCF
Contacts presse :
Jean Sivardière : 04.76.75.23.31
Jean Lenoir : 01.48.73.84.81
PJ n° 1
Dégradations des relations Corail
1- Les dessertes de nuit directes Reims (20h19)– Nice (8h20) et Nice (20h17) – Reims (8h33), après avoir été réduites aux débuts et fins de week-end, sont supprimées, alors que l’économie de parcours ne porte que sur la section Reims – Culmont-Chalindrey. Des reports sur l’avion en passant par Paris sont déjà constatés avec la « dérégularisation » des circulations.
Une desserte TER de remplacement, à la charge des régions, assure des correspondances à Culmont-Chalindrey à des heures dissuasives, tard dans la nuit ou tôt le matin. Les nouveaux horaires sont les suivants : Reims (20h42) – Culmont-Chalindrey (23h14 / 23h26) – Nice (8h28) et Nice (20h34) – Culmont-Chalindrey (5h07/5h38) – Reims (8h33).
Ces informations ne sont disponibles sur internet que pour un client avisé – et éventuellement prêt à payer à un tarif plus élevé – qui connaît déjà la solution et effectue deux demandes séparées : Reims – Culmont-Chalindrey, puis Culmont-Chalindrey – Nice. Par une requête directe, la SNCF ne mentionne que les voyages par Paris : Reims (20h15) – Paris-Est (21h) – Paris-Austerlitz (22h25) – Nice (8h47) et Nice (21h01) – Paris-Austerlitz (7h46) – Paris-Est (8h57) – Reims (9h42).
2-La SNCF reprend la suppression de dessertes par trains Corail Intercités, en autres sur la transversale Tours – Le Mans – Caen.
La relation Tours (9h41) – le Mans (10h53/11h05) – Caen (12h44) en 3h03 à 32,7 euros est supprimée. Cela entraîne la suppression d’une excellente relation par TGV : Bordeaux (6h55) – Tours/St-pierre-des-Corps (9h35) vers Le Mans et Caen. Par internet une alternative est proposée avec un Tours (9h04) –Paris-Austerlitz (11h40) - Paris-Saint-Lazare (13h45) – Caen (15h51) en 6h47 à 51 euros.
En sens inverse deux relations sont supprimées : Caen (8h38) – St-Pierre-des-Corps (11h35) / Tours en 2h57 et Caen (13h04) – Le Mans (14h52/15h02) – St-Pierre-des-Corps (16h02)/Tours en 2h58. Cela entraîne aussi la suppression de deux bonnes correspondances par TGV vers Bordeaux : départs de St-Pierre-des-Corps à 11h43 et 16h14, arrivées à Bordeaux à 14h23 et 18h48 respectivement. Les solutions alternatives sont proposées par Paris : Caen (8h58) – Paris-St-Lazare (10h46) – Paris-Austerlitz (11h41) – Tours (14h13) en 5h15 et Caen 11h58) – Paris-St-Lazare (13h45) – Paris-Austerlitz (16h15) – Tours (17h19) en 5h21. Les prix passent de 32,7 euros à 51 ou 40,9 euros.
Nota : Les relevés ont été effectués sur internet dans la semaine du 10 au 15 novembre 2008.
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Novembre 2008
Service d’hiver des trains de voyageurs :
la FNAUT dénonce une nouvelle dégradation grandes lignes hors TGV
Le service d’hiver des trains de voyageurs va entrer en vigueur le 14 décembre. La FNAUT dénonce des nouvelles dégradations dans l’offre grandes lignes interrégionale, hors TGV.
1- La desserte directe de nuit Reims – Nice, après avoir été réduite aux débuts et fins de week-end, est supprimée. Des reports sur l’avion en passant par Paris sont déjà constatés suite à cette « dérégularisation ». La desserte TER de remplacement, à la charge des régions, assure des correspondances à des heures dissuasives. Cette solution dégradée n’est même pas mentionnée directement sur internet.
2-La SNCF reprend la suppression de dessertes par trains Corail Intercités, en autres sur la transversale Tours –Le Mans – Caen. Une relation est supprimée dans le sens Sud – Nord et deux dans le sens Nord – Sud. Chacune d’elles assurait de plus d’excellentes correspondances en TGV de et vers Bordeaux. Les alternatives proposées consistent en des itinéraires par Paris, plus chers, plus lents et plus inconfortables, incitant le client à prendre sa voiture.
3-Le site internet continue de se dégrader pour les Corail Intercités. Les relations radiales, comme vu ci-dessus, sont privilégiées. Il est toujours impossible d’acheter un billet « ouvert », c’est-à-dire sans réservation. De plus, depuis quelques mois, pour nombre de ces trains à « réservation recommandée », il n’est plus possible de choisir ses préférences d’emplacement et l’informatique attribue automatiquement les places les moins demandées : « couloir » ou « milieu » : le monde à l’envers en matière de qualité de service !
4-Le nouveau calendrier voyageurs « bleu blanc », entré en vigueur le 6 juillet, se traduit par une très forte augmentation des prix pour trois catégories de voyageurs, celles précisément dont le pouvoir d’achat est le plus limité : les juniors, les enfants accompagnés et les seniors. La SNCF est à ce jour restée silencieuse quant à la proposition de la FNAUT qui consiste à ne pas appliquer les mêmes règles commerciales à l’ensemble des Corail Intercités et à revenir à l’ancien calendrier voyageur pour les liaisons interrégionales province - province.
5-Lors de son séminaire annuel avec les journalistes européens à Megève début octobre, la SNCF se déclare prête à financer par elle-même le renouvellement du parc des TGV, des TER et du réseau francilien mais reste, là encore, silencieuse sur le matériel Corail mis en service antérieurement au TGV.
« Assèchement » continu des relations transversales, dégradations du service internet, augmentation de certains prix, absence de vision d’avenir claire : toutes ces mesures ne sont pas conformes aux décisions prises en 2005 par le ministre des Transports au sujet des trains Corail Intercités, ni aux récentes positions de Dominique Bussereau, secrétaire d’Etat aux Transports qui a déclaré en avril : « Les bénéfices dégagés par le TGV doivent profiter au fret, aux TER et aux Corail Intercités. »
PJ n°1 : Dégradations des relations Corail
PJ n°2 : Le plan stratégique SNCF : Propositions de la FNAUT pour les services voyageurs « grandes lignes » Ce documenta été communiqué au ministère des Transports et à la SNCF
Contacts presse :
Jean Sivardière : 04.76.75.23.31
Jean Lenoir : 01.48.73.84.81
PJ n° 1
Dégradations des relations Corail
1- Les dessertes de nuit directes Reims (20h19)– Nice (8h20) et Nice (20h17) – Reims (8h33), après avoir été réduites aux débuts et fins de week-end, sont supprimées, alors que l’économie de parcours ne porte que sur la section Reims – Culmont-Chalindrey. Des reports sur l’avion en passant par Paris sont déjà constatés avec la « dérégularisation » des circulations.
Une desserte TER de remplacement, à la charge des régions, assure des correspondances à Culmont-Chalindrey à des heures dissuasives, tard dans la nuit ou tôt le matin. Les nouveaux horaires sont les suivants : Reims (20h42) – Culmont-Chalindrey (23h14 / 23h26) – Nice (8h28) et Nice (20h34) – Culmont-Chalindrey (5h07/5h38) – Reims (8h33).
Ces informations ne sont disponibles sur internet que pour un client avisé – et éventuellement prêt à payer à un tarif plus élevé – qui connaît déjà la solution et effectue deux demandes séparées : Reims – Culmont-Chalindrey, puis Culmont-Chalindrey – Nice. Par une requête directe, la SNCF ne mentionne que les voyages par Paris : Reims (20h15) – Paris-Est (21h) – Paris-Austerlitz (22h25) – Nice (8h47) et Nice (21h01) – Paris-Austerlitz (7h46) – Paris-Est (8h57) – Reims (9h42).
2-La SNCF reprend la suppression de dessertes par trains Corail Intercités, en autres sur la transversale Tours – Le Mans – Caen.
La relation Tours (9h41) – le Mans (10h53/11h05) – Caen (12h44) en 3h03 à 32,7 euros est supprimée. Cela entraîne la suppression d’une excellente relation par TGV : Bordeaux (6h55) – Tours/St-pierre-des-Corps (9h35) vers Le Mans et Caen. Par internet une alternative est proposée avec un Tours (9h04) –Paris-Austerlitz (11h40) - Paris-Saint-Lazare (13h45) – Caen (15h51) en 6h47 à 51 euros.
En sens inverse deux relations sont supprimées : Caen (8h38) – St-Pierre-des-Corps (11h35) / Tours en 2h57 et Caen (13h04) – Le Mans (14h52/15h02) – St-Pierre-des-Corps (16h02)/Tours en 2h58. Cela entraîne aussi la suppression de deux bonnes correspondances par TGV vers Bordeaux : départs de St-Pierre-des-Corps à 11h43 et 16h14, arrivées à Bordeaux à 14h23 et 18h48 respectivement. Les solutions alternatives sont proposées par Paris : Caen (8h58) – Paris-St-Lazare (10h46) – Paris-Austerlitz (11h41) – Tours (14h13) en 5h15 et Caen 11h58) – Paris-St-Lazare (13h45) – Paris-Austerlitz (16h15) – Tours (17h19) en 5h21. Les prix passent de 32,7 euros à 51 ou 40,9 euros.
Nota : Les relevés ont été effectués sur internet dans la semaine du 10 au 15 novembre 2008.
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jeudi 6 novembre 2008
pour qu'un enfant de 12 ans puisse aller voir son papa sans changer de train .....
..."un prix abordable, un voyage en toute tranquilité pour qu'un enfant de 12 ans puisse aller voir son papa sans changer de train ni errer dans le métro entre les gares, impossible de le supprimer!!!!!"
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mercredi 29 octobre 2008
Réseau ferré: l'Etat porterait les investissements à 13 milliards d'euros d'ici 2015
L'Etat va porter les investissements consacrés à la modernisation du réseau ferré national à 13 milliards d'euros à l'horizon 2015, engagement qui figurera dans le contrat de performance que doivent signer Réseau ferré de France et les pouvoirs publics lundi, a-t-on appris mercredi.
Mercredi 29 octobre 2008, 12h25
Le président de Réseau ferré de France (RFF), Hubert du Mesnil, signera cette convention 2008-2012 en présence du ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo, du ministre du Budget Eric Woerth et de Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports, a annoncé mercredi RFF.
Dans le contrat, figurera aussi l'engagement des pouvoirs publics de porter les investissements à 13 milliards d'euros cumulés à l'horizon 2015, a par ailleurs indiqué à l'AFP une source proche du dossier, confirmant une information de Libération.
M. du Mesnil avait affirmé devant la presse mi-octobre qu'il faudrait porter l'investissement consacré à la rénovation du réseau à 13 milliards d'euros à l'horizon 2015 et qu'il souhaitait que ces sommes figurent dans le contrat de performance alors en cours de finalisation.
Faute d'investissement massif pendant des années, certaines lignes du réseau classique sont en piteux état, ce qui oblige la SNCF à ralentir ses trains sur des centaines de kilomètres.
Plusieurs rapports, dont un publié au début du mois, ont pointé le besoin de financements pour la rénovation et la modernisation du réseau.
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Mercredi 29 octobre 2008, 12h25
Le président de Réseau ferré de France (RFF), Hubert du Mesnil, signera cette convention 2008-2012 en présence du ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo, du ministre du Budget Eric Woerth et de Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports, a annoncé mercredi RFF.
Dans le contrat, figurera aussi l'engagement des pouvoirs publics de porter les investissements à 13 milliards d'euros cumulés à l'horizon 2015, a par ailleurs indiqué à l'AFP une source proche du dossier, confirmant une information de Libération.
M. du Mesnil avait affirmé devant la presse mi-octobre qu'il faudrait porter l'investissement consacré à la rénovation du réseau à 13 milliards d'euros à l'horizon 2015 et qu'il souhaitait que ces sommes figurent dans le contrat de performance alors en cours de finalisation.
Faute d'investissement massif pendant des années, certaines lignes du réseau classique sont en piteux état, ce qui oblige la SNCF à ralentir ses trains sur des centaines de kilomètres.
Plusieurs rapports, dont un publié au début du mois, ont pointé le besoin de financements pour la rénovation et la modernisation du réseau.
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jeudi 23 octobre 2008
J'y reviendrai ....
Crise financière/France: financement de l'infrastructure des lignes TGV freiné
Paris (AWP International) - En réduisant les vannes du crédit et en pesant sur les ressources des Etats, la crise financière pourrait compliquer la réalisation de certains grands projets d'infrastructure, comme les futures lignes ferroviaires à grande vitesse (LGV).
Le futur TGV argentin, dont les travaux devaient commencer avant la fin de l'année, pourrait ainsi être retardé à cause de la crise, qui rend difficile le bouclage du tour de table financier, selon des sources argentines.
Selon la presse française, le projet subit aussi les effets de la fragilisation de la banque française Natixis, touchée par la crise et censée apporter 1,3 milliard de dollars.
En France, Réseau ferré de France (RFF) vient de reporter, pour cause de crise financière, la date limite de dépôt des offres pour la réalisation d'un nouveau système de télécommunication ferroviaire, baptisé GSM-R, un contrat d'environ 600 millions d'euros.
Du coup, le député UMP Hervé Mariton, rapporteur spécial du budget des transports, s'interroge sur les autres projets ferroviaires français.
"Si, sur un sujet comme le GSM-R qui n'est pas énorme et dont la rentabilité économique n'est pas contestée, on a déjà un report à cause de la crise, on peut se dire que c'est plus difficile pour les autres projets" ferroviaires, poursuit Hervé Mariton.
Le gouvernement veut construire 2000 km de lignes à grande vitesse (LGV) de plus d'ici 2020, des projets qui exigent des levées de capitaux de plusieurs milliards d'euros et des engagements financiers sur au moins trente ans sans que la rentabilité en soit complètement assurée.
Et, souligne Jérôme Pouyet, professeur à l'Ecole d'économie de Paris,"si le gouvernement commence à injecter des milliards d'euros dans le système financier, il faudra les trouver quelque part, et on peut penser à la suspension de projets d'infrastructure", comme les LGV.
Sans que les LGV soient complètement annulées, on peut craindre qu'elles soient "au moins décalées dans le temps", ajoute l'économiste des transports.
"Une crise d'une telle nature va freiner des décisions qui impliquent des investissements financiers du contribuable ou des banques", abonde Jean-Pierre Audoux, président de la Fédération des industries ferroviaires françaises.
Chez Bouygues Construction, candidat pour la construction de la future ligne Tours-Bordeaux, on souligne "les difficultés actuelles des banques à souscrire des engagements fermes pour des montants importants et des durées longues".
Les discussions avec les banques seront "plus difficiles", reconnaît Jean-Marc Delion, directeur général délégué de RFF, chargé de financer les LGV.
A cause de l'environnement financier, "bien sûr, j'ai des craintes", affirme Alain Rousset, président de la région Aquitaine, qui négocie actuellement le montage financier de Tours-Bordeaux qui doit voir le jour en 2016.
Pour lui, rien n'indique que le projet soit remis en cause. Quant à savoir s'il pourrait y avoir des retards, "cela va dépendre de la façon dont le gouvernement (peut procéder) à une sécurisation des plans de financement".
Si "l'Etat est capable de mobiliser 50 milliards pour les banques, il peut essayer de trouver quelques milliards pour sécuriser voire accélérer les projets d'infrastructure", ajoute l'élu, en référence aux sommes envisagées par le gouvernement pour recapitaliser les banques.
ds
(AWP/24 octobre 2008 08h31)
http://jesigne.fr/sauvonsletraindenuitreimsnice
Paris (AWP International) - En réduisant les vannes du crédit et en pesant sur les ressources des Etats, la crise financière pourrait compliquer la réalisation de certains grands projets d'infrastructure, comme les futures lignes ferroviaires à grande vitesse (LGV).
Le futur TGV argentin, dont les travaux devaient commencer avant la fin de l'année, pourrait ainsi être retardé à cause de la crise, qui rend difficile le bouclage du tour de table financier, selon des sources argentines.
Selon la presse française, le projet subit aussi les effets de la fragilisation de la banque française Natixis, touchée par la crise et censée apporter 1,3 milliard de dollars.
En France, Réseau ferré de France (RFF) vient de reporter, pour cause de crise financière, la date limite de dépôt des offres pour la réalisation d'un nouveau système de télécommunication ferroviaire, baptisé GSM-R, un contrat d'environ 600 millions d'euros.
Du coup, le député UMP Hervé Mariton, rapporteur spécial du budget des transports, s'interroge sur les autres projets ferroviaires français.
"Si, sur un sujet comme le GSM-R qui n'est pas énorme et dont la rentabilité économique n'est pas contestée, on a déjà un report à cause de la crise, on peut se dire que c'est plus difficile pour les autres projets" ferroviaires, poursuit Hervé Mariton.
Le gouvernement veut construire 2000 km de lignes à grande vitesse (LGV) de plus d'ici 2020, des projets qui exigent des levées de capitaux de plusieurs milliards d'euros et des engagements financiers sur au moins trente ans sans que la rentabilité en soit complètement assurée.
Et, souligne Jérôme Pouyet, professeur à l'Ecole d'économie de Paris,"si le gouvernement commence à injecter des milliards d'euros dans le système financier, il faudra les trouver quelque part, et on peut penser à la suspension de projets d'infrastructure", comme les LGV.
Sans que les LGV soient complètement annulées, on peut craindre qu'elles soient "au moins décalées dans le temps", ajoute l'économiste des transports.
"Une crise d'une telle nature va freiner des décisions qui impliquent des investissements financiers du contribuable ou des banques", abonde Jean-Pierre Audoux, président de la Fédération des industries ferroviaires françaises.
Chez Bouygues Construction, candidat pour la construction de la future ligne Tours-Bordeaux, on souligne "les difficultés actuelles des banques à souscrire des engagements fermes pour des montants importants et des durées longues".
Les discussions avec les banques seront "plus difficiles", reconnaît Jean-Marc Delion, directeur général délégué de RFF, chargé de financer les LGV.
A cause de l'environnement financier, "bien sûr, j'ai des craintes", affirme Alain Rousset, président de la région Aquitaine, qui négocie actuellement le montage financier de Tours-Bordeaux qui doit voir le jour en 2016.
Pour lui, rien n'indique que le projet soit remis en cause. Quant à savoir s'il pourrait y avoir des retards, "cela va dépendre de la façon dont le gouvernement (peut procéder) à une sécurisation des plans de financement".
Si "l'Etat est capable de mobiliser 50 milliards pour les banques, il peut essayer de trouver quelques milliards pour sécuriser voire accélérer les projets d'infrastructure", ajoute l'élu, en référence aux sommes envisagées par le gouvernement pour recapitaliser les banques.
ds
(AWP/24 octobre 2008 08h31)
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EVIDENCE ET BON SENS ......
........"C'est un train de nuit particulièremnt pratique pour les champardenais qui ont de la famille dans le midi et n'ont pas beaucoup de vacançes pour aller les voir. Encore une désillusion venant de la SNCF qui ne tient malheureusement pas compte de l'avis de ses voyageurs !"
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mercredi 22 octobre 2008
Cela peut paraitre etonnant, mais notre train, il en a vu passer des aviateurs !!
"Orange / Reims .... St Dizier / Istres ..... pour aller d'une base aérienne à une autre sans poser de congé ni perdre de temps, pouvoir profiter pleinement d'un week-end de détente avant de reprendre le service .... rien de mieux que le train de nuit Reims Nice !"
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UNE VOYAGEUSE POSE UNE QUESTION PLEINE DE BON SENS ....
...... "Pourquoi supprimer ce train alors que le Nice Luxembourg est maintenu et que ces 2 trains sont semblables (et même communs) sur plus des 3/4 de leur trajet ?" .......
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mardi 21 octobre 2008
L'IRONIE DESABUSEE D'UN HABITANT DE LA HAUTE-MARNE
...... "Si ça continue, ils vont nous couper l'eau et l'électricité dans le 52 pour cause de mauvaise rentabilité..... !!!!" .....
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lundi 20 octobre 2008
L'APPEL D'UN VOYAGEUR A LA DIRECTION DE LA SNCF
....."Je prend ce train une fois par mois ... C'est le seul moyen correct à ma disposition pour aller voir mes enfants de 10 et 12 ans. C'est scandaleux de le supprimer !" .......
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A PROPOS DE LA "CRISE" ... ET NOTRE PETIT TRAIN DANS TOUT CA ?
La France annonce des mesures de stimulation de l'économie.
PARIS - Le Premier ministre français François Fillon a annoncé lundi des mesures de stimulation de l'économie, avec une augmentation de 3 à 4% des crédits accordés par les banques et un plan de soutien de 5 milliards d'euros pour les collectivité locales.
"Les banques s'engagent à une progression de 3 à 4% en rythme annuel de leurs encours de crédit à l'économie française", a déclaré M. Fillon à l'issue d'une réunion consacrée au financement de l'économie.
Les banques françaises viennent de bénéficier d'un plan de soutien d'un montant maximum de 360 milliards d'euros, dans le cadre du plan d'action européen en faveur du secteur bancaire.
"Elles s'engagent à porter une attention particulière aux conditions de dénouement des crédits relais des particuliers et à l'accès des PME (petites et moyennes entreprises) au crédit, en particulier pour soutenir leur situation de trésorerie", a-t-il précisé.
Le Premier ministre a également annoncé une enveloppe de 5 milliards d'euros destinée au financement des collectivités territoriales, pour moitié octroyée par des prêts de la Caisse des dépôts et consignations, le bras financier de l'Etat, et l'autre moitié par les banques.
(©AFP / 20 octobre 2008 17h03)
AVANT DE STIMULER CE QUI NE REPARTIRA PEUT ETRE PAS, POURQUOI NE PAS COMMENCER PAR NE PAS CASSER CE QUI MARCHE, EST FORT UTILE, ET, EN DEFINITIVE, EST RENTABLE ? ......
Comme notre train Reims - Nice .... ne le cassez pas ! au contraire, améliorez le, rendez le plus agréable et plus fonctionnel ! ......
http://jesigne.fr/sauvonsletraindenuitreimsnice
PARIS - Le Premier ministre français François Fillon a annoncé lundi des mesures de stimulation de l'économie, avec une augmentation de 3 à 4% des crédits accordés par les banques et un plan de soutien de 5 milliards d'euros pour les collectivité locales.
"Les banques s'engagent à une progression de 3 à 4% en rythme annuel de leurs encours de crédit à l'économie française", a déclaré M. Fillon à l'issue d'une réunion consacrée au financement de l'économie.
Les banques françaises viennent de bénéficier d'un plan de soutien d'un montant maximum de 360 milliards d'euros, dans le cadre du plan d'action européen en faveur du secteur bancaire.
"Elles s'engagent à porter une attention particulière aux conditions de dénouement des crédits relais des particuliers et à l'accès des PME (petites et moyennes entreprises) au crédit, en particulier pour soutenir leur situation de trésorerie", a-t-il précisé.
Le Premier ministre a également annoncé une enveloppe de 5 milliards d'euros destinée au financement des collectivités territoriales, pour moitié octroyée par des prêts de la Caisse des dépôts et consignations, le bras financier de l'Etat, et l'autre moitié par les banques.
(©AFP / 20 octobre 2008 17h03)
AVANT DE STIMULER CE QUI NE REPARTIRA PEUT ETRE PAS, POURQUOI NE PAS COMMENCER PAR NE PAS CASSER CE QUI MARCHE, EST FORT UTILE, ET, EN DEFINITIVE, EST RENTABLE ? ......
Comme notre train Reims - Nice .... ne le cassez pas ! au contraire, améliorez le, rendez le plus agréable et plus fonctionnel ! ......
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dimanche 19 octobre 2008
vendredi 17 octobre 2008
MARSEILLE, C'EST AUSSI CA !!!
VINCENT FERT P-DG d'Ipsogen
....
Un patron doté
du gène de l'innovation
OLIVIA DERREUMAUX | JDF HEBDO | 18.10.2008 | Mise à jour : 20H00
....
Avec Ipsogen, la société spécialisée dans le diagnostic moléculaire qu'il a créée en 1999, Vincent Fert s'est lancé dans le grand défi de la biologie moléculaire.
Dix ans à peine après la création d'Ipsogen, Vincent Fert semble être un patron accompli. Une introduction en Bourse réussie, une équipe solide de 41 collaborateurs et des projets qui commencent à porter leurs fruits, ce « sudiste invétéré », comme il se décrit lui-même, originaire de la Drôme, a réussi l'un de ses plus beaux défis : se lancer dans l'aventure risquée des biotechnologies. Il faut dire que ce Marseillais d'adoption n'a pas longtemps hésité avant de trouver sa voie. « Je suis un scientifique, j'ai toujours été passionné par les sciences de la vie. Ce qui me fascine le plus, ce sont les potentialités d'application et d'innovation issues de la recherche fondamentale. »
Après son DEA en immunologie, Vincent Fert fait partie des premiers scientifiques à participer à la révolution des biotechnologies. Quinze années passées chez Immunotech, un des pionniers dans le domaine des anticorps monoclonaux, lui permettront de découvrir la spécificité de nombreux postes : de la recherche à la commercialisation en passant par le management. « J'y ai appris beaucoup de choses mais, après notre rachat par un groupe américain, j'ai senti qu'Immunotech s'éloignait de notre métier de base, on perdait ce qui faisait notre passion : l'innovation pure. Le plus motivant, c'est de passer de la recherche, de la connaissance pure, produite par des scientifiques de haut vol, à des applications cliniques nouvelles. »
Il décide donc d'adapter ce qu'il a appris chez Immunotech au développement du diagnostic moléculaire, un nouveau champ d'application des découvertes scientifiques. « Il a su être suffisamment opportuniste, et au bon moment, confirme Bertrand Jordan, ancien scientifique au CNRS qui a participé financièrement au projet. Après le repositionnement d'Immunotech, il ne s'est plus vraiment senti à sa place et il s'est donc investi dans ce projet. Il a su s'entourer des bonnes personnes et, depuis, il mène vraiment bien sa barque. »
En 1999, c'est donc le début de l'aventure Ipsogen, avec toujours Marseille comme point d'attache. La ville, qui abrite un tissu de recherche clinique assez développé, est l'endroit tout trouvé pour démarrer ce nouveau projet. Accompagné de Stéphane Debono, rencontré chez Immunotech, et de Fabienne Hermitte, jeune thésarde ayant débuté chez Rhône Poulenc, il monte une petite équipe et reçoit le soutien de l'Institut Paoli-Calmettes, un centre spécialisé dans la lutte contre le cancer.
Le pari est risqué. Vincent Fert sait que les investissements sont lourds, avec des temps de développement longs, pour des résultats souvent incertains. « Il faut une grande confiance en soi, confesse ce scientifique pur souche, mais aussi une certaine modestie. Malgré tout, l'aventure me tentait, d'autant plus que, familialement, nous avons une certaine culture entrepreneuriale. »
La biologie moléculaire laisse peu de temps libre
Un grand-père industriel spécialisé dans le commerce de l'huile d'olive, des parents qui lancent un négoce d'antiquités, un frère qui développe son entreprise dans l'industrie automobile sont autant d'éléments qui permettent à Vincent Fert de développer une passion : celle de la culture de l'innovation. « On a eu des moments compliqués, notamment en 2005 quand il a fallu licencier quatre personnes, soit près de 10 % de nos effectifs de l'époque. Mais, comme dit le proverbe, l'entreprise en ressort plus forte. C'est ce qui fait la maturité d'une société : savoir digérer les moments difficiles. »
On sent d'ailleurs chez l'entrepreneur un vrai plaisir à travailler en équipe, une équipe qu'il considère comme solidaire et performante, avec des gens passionnés. « Il est un peu pour moi un mentor qui m'a transmis le virus de l'aventure entrepreneuriale, confesse Stéphane Debono, cofondateur d'Ipsogen. C'est un homme de confiance, fidèle à ses idées et honnête dans ses propos. Il a su garder le cap de son objectif de départ, et, si Ipsogen est toujours là aujourd'hui, c'est aussi grâce à ça. »
Bien sûr, lancer sa société la biologie moléculaire, cela laisse peu de temps libre. Ce qui n'empêche pas Vincent Fert de s'adonner à l'une de ses passions favorites, la moto. « Tous les jours, pour aller travailler », avoue-t-il avec un sourire. Autres loisirs : la littérature, la peinture et le goût du vin lorsqu'il retourne dans ses terres. Alors, après une introduction en Bourse réussie en juin, que souhaiter de plus ? « Pour l'instant, je suis le nez dans le guidon, et, tant que la lassitude ne vient pas, Ipsogen restera un de mes grands projets de vie. » Un seul souhait peut-être : que les investisseurs parient davantage sur les biotechnologies. « Avec la crise financière que l'on traverse aujourd'hui, investir dans des activités comme les nôtres n'est finalement pas plus risqué que d'autres placements ! », conclut malicieusement Vincent Fert.
.
http://www.jdf.com/portrait/2008/10/18/04016-20081018ARTHBD00171-un-patron-dote-du-gene-de-l-innovation.php
"Cancer Profiler", Profiler des cancers, Ipsogen développe et commercialise des tests de diagnostic moléculaire qui permettent de cartographier la maladie pour guider la décision de l¹oncologue et de son patient tout au long de leur chemin thérapeutique.
http://www.ipsogen.com/fr/
....
Un patron doté
du gène de l'innovation
OLIVIA DERREUMAUX | JDF HEBDO | 18.10.2008 | Mise à jour : 20H00
....
Avec Ipsogen, la société spécialisée dans le diagnostic moléculaire qu'il a créée en 1999, Vincent Fert s'est lancé dans le grand défi de la biologie moléculaire.
Dix ans à peine après la création d'Ipsogen, Vincent Fert semble être un patron accompli. Une introduction en Bourse réussie, une équipe solide de 41 collaborateurs et des projets qui commencent à porter leurs fruits, ce « sudiste invétéré », comme il se décrit lui-même, originaire de la Drôme, a réussi l'un de ses plus beaux défis : se lancer dans l'aventure risquée des biotechnologies. Il faut dire que ce Marseillais d'adoption n'a pas longtemps hésité avant de trouver sa voie. « Je suis un scientifique, j'ai toujours été passionné par les sciences de la vie. Ce qui me fascine le plus, ce sont les potentialités d'application et d'innovation issues de la recherche fondamentale. »
Après son DEA en immunologie, Vincent Fert fait partie des premiers scientifiques à participer à la révolution des biotechnologies. Quinze années passées chez Immunotech, un des pionniers dans le domaine des anticorps monoclonaux, lui permettront de découvrir la spécificité de nombreux postes : de la recherche à la commercialisation en passant par le management. « J'y ai appris beaucoup de choses mais, après notre rachat par un groupe américain, j'ai senti qu'Immunotech s'éloignait de notre métier de base, on perdait ce qui faisait notre passion : l'innovation pure. Le plus motivant, c'est de passer de la recherche, de la connaissance pure, produite par des scientifiques de haut vol, à des applications cliniques nouvelles. »
Il décide donc d'adapter ce qu'il a appris chez Immunotech au développement du diagnostic moléculaire, un nouveau champ d'application des découvertes scientifiques. « Il a su être suffisamment opportuniste, et au bon moment, confirme Bertrand Jordan, ancien scientifique au CNRS qui a participé financièrement au projet. Après le repositionnement d'Immunotech, il ne s'est plus vraiment senti à sa place et il s'est donc investi dans ce projet. Il a su s'entourer des bonnes personnes et, depuis, il mène vraiment bien sa barque. »
En 1999, c'est donc le début de l'aventure Ipsogen, avec toujours Marseille comme point d'attache. La ville, qui abrite un tissu de recherche clinique assez développé, est l'endroit tout trouvé pour démarrer ce nouveau projet. Accompagné de Stéphane Debono, rencontré chez Immunotech, et de Fabienne Hermitte, jeune thésarde ayant débuté chez Rhône Poulenc, il monte une petite équipe et reçoit le soutien de l'Institut Paoli-Calmettes, un centre spécialisé dans la lutte contre le cancer.
Le pari est risqué. Vincent Fert sait que les investissements sont lourds, avec des temps de développement longs, pour des résultats souvent incertains. « Il faut une grande confiance en soi, confesse ce scientifique pur souche, mais aussi une certaine modestie. Malgré tout, l'aventure me tentait, d'autant plus que, familialement, nous avons une certaine culture entrepreneuriale. »
La biologie moléculaire laisse peu de temps libre
Un grand-père industriel spécialisé dans le commerce de l'huile d'olive, des parents qui lancent un négoce d'antiquités, un frère qui développe son entreprise dans l'industrie automobile sont autant d'éléments qui permettent à Vincent Fert de développer une passion : celle de la culture de l'innovation. « On a eu des moments compliqués, notamment en 2005 quand il a fallu licencier quatre personnes, soit près de 10 % de nos effectifs de l'époque. Mais, comme dit le proverbe, l'entreprise en ressort plus forte. C'est ce qui fait la maturité d'une société : savoir digérer les moments difficiles. »
On sent d'ailleurs chez l'entrepreneur un vrai plaisir à travailler en équipe, une équipe qu'il considère comme solidaire et performante, avec des gens passionnés. « Il est un peu pour moi un mentor qui m'a transmis le virus de l'aventure entrepreneuriale, confesse Stéphane Debono, cofondateur d'Ipsogen. C'est un homme de confiance, fidèle à ses idées et honnête dans ses propos. Il a su garder le cap de son objectif de départ, et, si Ipsogen est toujours là aujourd'hui, c'est aussi grâce à ça. »
Bien sûr, lancer sa société la biologie moléculaire, cela laisse peu de temps libre. Ce qui n'empêche pas Vincent Fert de s'adonner à l'une de ses passions favorites, la moto. « Tous les jours, pour aller travailler », avoue-t-il avec un sourire. Autres loisirs : la littérature, la peinture et le goût du vin lorsqu'il retourne dans ses terres. Alors, après une introduction en Bourse réussie en juin, que souhaiter de plus ? « Pour l'instant, je suis le nez dans le guidon, et, tant que la lassitude ne vient pas, Ipsogen restera un de mes grands projets de vie. » Un seul souhait peut-être : que les investisseurs parient davantage sur les biotechnologies. « Avec la crise financière que l'on traverse aujourd'hui, investir dans des activités comme les nôtres n'est finalement pas plus risqué que d'autres placements ! », conclut malicieusement Vincent Fert.
.
http://www.jdf.com/portrait/2008/10/18/04016-20081018ARTHBD00171-un-patron-dote-du-gene-de-l-innovation.php
"Cancer Profiler", Profiler des cancers, Ipsogen développe et commercialise des tests de diagnostic moléculaire qui permettent de cartographier la maladie pour guider la décision de l¹oncologue et de son patient tout au long de leur chemin thérapeutique.
http://www.ipsogen.com/fr/
jeudi 16 octobre 2008
LA SNCF, UNE INGRATE ??? .... LA REVOLTE D'UN VOYAGEUR :
"A la SNCF, je dit : QUELLE INGRATITUDE ! C'est vraiment NUL de sa part. Ce train lui a bien rendu service quand il n'y avait rien d'autre ! Et puis, tout ça après que le Grand Est ait financé le tgv, ainsi que la Region Champagne Ardenne et la Marne ? Vraiment, JE SUIS DEGOUTE par cette attitude ...... LA SNCF, C'EST TOUT POUR L'OUEST !" ......
http://jesigne.fr/sauvonsletraindenuitreimsnice
.............
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.............
mercredi 15 octobre 2008
POUR ALLER PLUS LOIN ....
"Why manufacturing and infrastructure are central to the economy :
A global vision of peace, prosperity, democracy, and ecological sustainablility"
Jonathan M. Rynn, Ph. D.
POURQUOI LE MAINTIENT EN PLACE, LOCALEMENT, DES MOYENS DE PRODUCTION ET DES INFRASTRUCTURES EST ESSENTIEL A L'ECONOMIE.
UNE VISION GLOBALE DES VOIES DE LA PAIX, DE LA PROSPERITE, DE LA DEMOCRATIE ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE.
http://economicreconstruction.com/sites/economicreconstruction.com/static/JonRynn/WhyManufacturingIsCentral.pdf
A global vision of peace, prosperity, democracy, and ecological sustainablility"
Jonathan M. Rynn, Ph. D.
POURQUOI LE MAINTIENT EN PLACE, LOCALEMENT, DES MOYENS DE PRODUCTION ET DES INFRASTRUCTURES EST ESSENTIEL A L'ECONOMIE.
UNE VISION GLOBALE DES VOIES DE LA PAIX, DE LA PROSPERITE, DE LA DEMOCRATIE ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE.
http://economicreconstruction.com/sites/economicreconstruction.com/static/JonRynn/WhyManufacturingIsCentral.pdf
vendredi 10 octobre 2008
C'EST VOUS QUI LE DITES ......
......."Le train de nuit Reims Nice doit être maintenu impérativement, comme tous les trains. Vive le train, vive les cheminots."......
http://jesigne.fr/sauvonsletraindenuitreimsnice
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jeudi 9 octobre 2008
MARSEILLE C'EST AUSSI CA !!!
Le trader devenu moine des cités
Publié le jeudi 9 octobre 2008 à 12H37
Henry Quinson a abandonné la finance pour créer une fraternité religieuse dans un HLM de Marseille
Henry Quinson,moine, a créé il y a douze ans la Fraternité St-Paul, dans un HLM d'une cité marseillaise.
Photo Patrick Gherdoussi
Article de Delphine Tanguy ( dtanguy@laprovence-presse.fr )
C'était à bord d'un avion, la business classentre Stockholm et Londres. "Une coupe de champagne dans une main et un livre de psaumes dans l'autre". Henry Quinson, Lyonnais par sa mère et Américain par son banquier de père ......
Lire la suite : http://www.laprovence.com/articles/2008/10/09/589255-A-la-une-Le-trader-devenu-moine-des-cites.php
Publié le jeudi 9 octobre 2008 à 12H37
Henry Quinson a abandonné la finance pour créer une fraternité religieuse dans un HLM de Marseille
Henry Quinson,moine, a créé il y a douze ans la Fraternité St-Paul, dans un HLM d'une cité marseillaise.
Photo Patrick Gherdoussi
Article de Delphine Tanguy ( dtanguy@laprovence-presse.fr )
C'était à bord d'un avion, la business classentre Stockholm et Londres. "Une coupe de champagne dans une main et un livre de psaumes dans l'autre". Henry Quinson, Lyonnais par sa mère et Américain par son banquier de père ......
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LE NICE <----> REIMS : CE SONT LES VOYAGEURS QUI EN PARLENT LE MIEUX !!!!
......."je prends ce train régulièrement. c'est la seule façon de faire Reims Nice avec des enfants, le passage par Paris avec le changement de gare est impossible."......
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VUE DU TRAIN ... LA HAUTE-MARNE EN AUTOMNE, AU PETIT MATIN .....
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TEMOIGNAGE DE VOYAGEUR .....
........."travaillant à toulon cette liaison m'évite :
1) de prendre un tgv en période de pointe,
2) de faire plus de km donc de faire un voyage qui couterai plus cher,
3) de changer de gare à paris, ....
...et puis, les petites gares reliées par ce train vont encore connaitre des pertes économiques!" ..........
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1) de prendre un tgv en période de pointe,
2) de faire plus de km donc de faire un voyage qui couterai plus cher,
3) de changer de gare à paris, ....
...et puis, les petites gares reliées par ce train vont encore connaitre des pertes économiques!" ..........
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.... Un message d'une des signataires de la pétition ....
"Ce train REIMS NICE m'est indispensable pour aller voir mes parents à NICE agés de 86 et 87 ans, de plus maman a la maladie d'Alzheimer. Sauvons ce train. Les prix des TGV ne sont pas abordables pour tout le monde" http://jesigne.fr/sauvonsletraindenuitreimsnice
lundi 6 octobre 2008
dimanche 5 octobre 2008
AGISSEZ !
NON A LA SUPPRESSION DU TRAIN NICE REIMS !
SIGNEZ LA PETITION !
http://jesigne.fr/sauvonsletraindenuitreimsnice
Rejoignez nous sur :
http://nicereimstraindenuit.blogspot.com/
Devenez une partie de la solution ! PASSEZ A L'ACTION !
Si vous etes concernés passez à l'action dès maintenant en écrivant à vos élus, en diffusant ce blog, en diffusant la pétition.
Nous devons stopper la politique irresponsable, incompétente et égoïste de la direction la SNCF.
Sur Internet, les lecteurs ont le pouvoir ! Ils décident quelle information fera le tour du globe! Peut-être n’en êtes vous pas conscient, mais si chaque lecteur envoie un lien à trois autres personnes intéressées, il suffit de vingt pas pour atteindre 3,486,784,401 personnes!
Vous voulez le voir se produire? Utilisez votre pouvoir!
3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 x 3 = 3,486,784,401
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samedi 4 octobre 2008
Devenez une partie de la solution ! PASSEZ A L'ACTION !
Si vous etes concernés passez à l'action dès maintenant en écrivant à vos élus, en diffusant ce blog, en diffusant la pétition.
Nous devons stopper la politique irresponsable, incompétente et égoïste de la direction de la SNCF.
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ECRIVEZ A VOS ELUS
Ecrire une lettre à vos élus peut-être une façon efficace de déclarer votre non consentement, c'est aussi une occasion d'élever le niveau de conscience du public. Pour une liste de vos députés, visitez: La liste officielle de l'Assemblée Nationale.
Et celle du Sénat.
Bien entendu nous recommandons également de transmettre une copie de votre lettre au maire de votre ville, au conseiller regional, au Conseil Général, aux ministres ..... au président.... !!! aux institutions européennes, etc..
SIGNEZ LA PETITION
DIFFUSEZ LES INFORMATIONS AUTOUR DE VOUS
Nous devons stopper la politique irresponsable, incompétente et égoïste de la direction de la SNCF.
Sur Internet, les lecteurs ont le pouvoir ! Ils décident quelle information fera le tour du globe! Peut-être n’en êtes vous pas conscient, mais si chaque lecteur envoie un lien à trois autres personnes intéressées, il suffit de vingt pas pour atteindre 3,486,784,401 personnes! Vous voulez le voir se produire? Utilisez votre pouvoir!
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Ecrire une lettre à vos élus peut-être une façon efficace de déclarer votre non consentement, c'est aussi une occasion d'élever le niveau de conscience du public. Pour une liste de vos députés, visitez: La liste officielle de l'Assemblée Nationale.
Et celle du Sénat.
Bien entendu nous recommandons également de transmettre une copie de votre lettre au maire de votre ville, au conseiller regional, au Conseil Général, aux ministres ..... au président.... !!! aux institutions européennes, etc..
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Vendredi soir, départ de Nice pour un week-end oenologie et dégustation ..... CHAMPAGNE / Bulles et fromages, c'est très tendance
CHAMPAGNE / Bulles et fromages, c'est très tendance
Des associations étonnantes entre les fromages et les bulles de champagne.
Exit le fameux coup de « rouge » pour le fromage, voici le champagne-camembert. Il s'agit là d'une idée lancée par un « tendanceur » parisien, Vincent Grégoire ......
Lisez la suite dans l'Union.
Des associations étonnantes entre les fromages et les bulles de champagne.
Exit le fameux coup de « rouge » pour le fromage, voici le champagne-camembert. Il s'agit là d'une idée lancée par un « tendanceur » parisien, Vincent Grégoire ......
Lisez la suite dans l'Union.
SAUVONS LE TRAIN REIMS <----> NICE !
SIGNEZ LA PETITION !
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jeudi 2 octobre 2008
Une idée LUMINEUSE
NON A LA SUPPRESSION DU TRAIN DE NUIT RELIANT NICE A REIMS ET RETOUR !
SIGNEZ LA PETITION CONTRE LA SUPPRESSION DU TRAIN DE NUIT !
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o ▼ octobre (3)
+ A L'INTENTION DES RESPONSABLES DE LA SNCF : UNE RE...
+ SIGNEZ LA PETITION CONTRE LA SUPPRESSION DU TRAIN ...
+ SNCF : pas de sursis pour le Reims-Nice
o ► septembre (6)
+ SIGNEZ LA PETITION CONTRE LA SUPPRESSION DU TRAIN ...
+ imaginez vous, le vendredi soir, vous vous endorme...
+ Le train de nuit Reims/Nice supprimé en décembre ...
+ Sauvons le train de nuit Reims/Nice !
+ SIGNEZ LA PETITION CONTRE LA SUPPRESSION DU TRAIN ...
+ NON A LA SUPPRESSION DU TRAIN DE NUIT RELIANT NICE...
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A L'INTENTION DES RESPONSABLES DE LA SNCF : LA REFLEXION LUMINEUSE D'UNE DES PERSONNES SIGNATAIRES DE LA PETITION !
Une des personnes ayant signé la pétition pour sauver le train Nice Reims a vraiment eu une idée lumineuse.
Je m'empresse de la publier, en espérant que les autorités responsables de la SNCF la reprendons "au vol" .... et qu'elles répondrons à cette proposition qui me parait, simple, économique, modeste mais tellement efficace ..... LUMINEUSE ....
Je donne la parole à cette personne qui se reconnaitra et que JE REMERCIE ++++ :
..... " bonsoir Ce train manque de publicité.
Beaucoup de personnes de la région de REIMS ne connaissent pas cette liaison.
Si c'est un problème économique, il suffirait de rattacher les voitures du REIMS-NICE sur le TER REIMS CULMONT CHALINDREY."
Je le remet à part tellement c'est clair et tellement c'est important :
"Si c'est un problème économique, il suffirait de rattacher les voitures du REIMS-NICE sur le TER REIMS CULMONT CHALINDREY"
La question se pose : pourquoi la SNCF n'a t elle pas envisagé cette solution ?
Je m'empresse de la publier, en espérant que les autorités responsables de la SNCF la reprendons "au vol" .... et qu'elles répondrons à cette proposition qui me parait, simple, économique, modeste mais tellement efficace ..... LUMINEUSE ....
Je donne la parole à cette personne qui se reconnaitra et que JE REMERCIE ++++ :
..... " bonsoir Ce train manque de publicité.
Beaucoup de personnes de la région de REIMS ne connaissent pas cette liaison.
Si c'est un problème économique, il suffirait de rattacher les voitures du REIMS-NICE sur le TER REIMS CULMONT CHALINDREY."
Je le remet à part tellement c'est clair et tellement c'est important :
"Si c'est un problème économique, il suffirait de rattacher les voitures du REIMS-NICE sur le TER REIMS CULMONT CHALINDREY"
La question se pose : pourquoi la SNCF n'a t elle pas envisagé cette solution ?
SNCF : pas de sursis pour le Reims-Nice
SNCF : pas de sursis pour le Reims-Nice
Une pétition vient d’être lancée pour tenter de sauver le train de nuit Reims-Nice, qui dessert également Châlons-en-Champagne. Mais du côté de la SNCF, la décision de le supprimer en décembre est .....
article de Mme Marion Dardard
lire la suite : http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/186436/
mardi 30 septembre 2008
Le train de nuit Reims/Nice supprimé en décembre
Hier, se tenait à l'espace Millesime de la foire de Châlons, un débat qui servira de base à la nouvelle convention signée par la SNCF, la région Champagne-Ardenne et l'État au sujet des TER (transport express régional).........
Article de Mr Rémi Havyarimana
L'Union, Article paru le : 7 septembre 2008
lire la suite : http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/174187
Hier, se tenait à l'espace Millesime de la foire de Châlons, un débat qui servira de base à la nouvelle convention signée par la SNCF, la région Champagne-Ardenne et l'État au sujet des TER (transport express régional).........
Article de Mr Rémi Havyarimana
L'Union, Article paru le : 7 septembre 2008
lire la suite : http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/174187
lundi 29 septembre 2008
dimanche 28 septembre 2008
NON A LA SUPPRESSION DU TRAIN DE NUIT RELIANT NICE A REIMS ET RETOUR !
SIGNEZ LA PETITION CONTRE LA SUPPRESSION DU TRAIN DE NUIT !
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